Petit traité d’études genre pour féministes de tout poil
vendredi 16 octobre 2009
Ça faisait un moment que nous avions délaissé notre collègue blogeur Rembarre. De nombreux lecteurs s’en étonnaient et nous demandaient de ses nouvelles. Ils vont être exaucés : le Rembarre d’octobre est un cru prometteur avec un nouvel arôme de bonbon acidulé macéré dans de l’alcool d’abricot. Cette fois, le professeur entremontant a éclairé nos lanternes sur l’un de ses sujets de prédilection : le rôle des femelles en société. Extrait :
« Il nous avait pourtant semblé que la rude histoire de l’homme commençait par le geste d’une épouse offrant à son mari un frugal repas. Plus tard, il nous revient que c’est à son fourneau que Rebecca fit l’histoire et assura le droit d’aînesse à Jacob son préféré. Deux mille ans d’enseignement chrétien nous présente constamment une famille monogame où l’épouse est mère et maîtresse de maison, tandis que l’homme se voue à des travaux extérieurs. » (suite…)





Ainsi donc Vincent Pellegrini vole au secours du pauvre professeur Windisch si malmené dans les médias. Pensez-vous, ils ont osé demander au doyen de son université (son employeur donc) sa réaction face au petit papier de l’autre jour où, rappelons-le, Monsieur Windisch affirmait que les Allemand avaient « l’habitude » d’exterminer leurs minorités. Forcement, quand on fait des papiers comme ceux de Vincent, ça ne doit pas paraître évident que le travail de journaliste consiste aussi à demander à toutes les parties concernées ce qu’elle pense du sujet traité. Pour lui un seul point de vue semble parfaitement suffisant.

