Archive pour la catégorie 'Non classé'
Hommage à Roy Lichtenstein
jeudi 24 octobre 2013Whaam! (1963)
Plus que quelques jours pour aller admirer la grande rétrospective Roy Lichtenstein au centre Pompidou à Paris.
Alcazard, mauvais patriote
Sentiers d’évasion, de là-bas, de là-haut
mercredi 5 juin 2013En l’espace de 5 jours, je vois que Stéphane Riand de L\'1dex a publié pas moins de 6 articles sur le différent fiscal entre la Suisse et les Etats-Unis. Si j’ai bien compris, en gros, les Suisses doivent résister au diktat américain tant qu’ils n’auront pas plus d’informations sur les fautes des établissements bancaires helvétiques et les intentions des Amerloques. Vu que je suis un mec gentil et serviable, je veux bien donner quelques pistes.
(suite…)
On bosse….
samedi 18 mai 2013I like!
mercredi 27 mars 2013Citations…
vendredi 30 novembre 2012« Je lui (Jean-Michel Cina) ai répondu que Platon a dit que les affaires de l’État devraient être mises entre les mains des poètes et des philosophes. »
Oskar Freysinger, plus poète que philosophe (et futur chef de la culture)
« Si donc un homme en apparence capable, par son habileté, de prendre toutes les formes et de tout imiter, venait dans notre ville pour s’y produire, lui et ses poèmes, nous le saluerions bien bas comme un être sacré, étonnant, agréable ; mais nous lui dirions qu’il n’y a point d’homme comme lui dans notre cité et qu’il ne peut y en avoir ; puis nous l’enverrions dans une autre ville… » La République, Livre II.
« Nous conjurerons Homère et les autres poètes de ne pas trouver mauvais que nous effacions de leurs écrits ces endroits et les autres de cette nature. Ce n’est pas qu’ils ne soient très poétiques, et qu’ils ne flattent agréablement l’oreille du peuple. Mais, plus ils sont beaux, plus il est dangereux qu’ils soient entendus, à quelque âge que ce soit, de ceux qui, destinés à vivre libres, doivent préférer la mort à la servitude. » La République, Livre III.
Platon (plus philosophe que poète)
Oh les filles, oh les filles, moi elles me rendent marteau !
jeudi 24 mai 2012Clos Saint-Georges, suite
samedi 21 avril 2012Le permis de démolir le Clos Saint-Georges a été délivré par le conseil communal, qui a balayé d’un revers de main des oppositions pourtant argumentées.
Bien.
Personne, pourtant, parmi les conseillers communaux qui d’un trait de plume, entre deux rires et deux verres de blanc, ont signé l’arrêt de mort de cette bâtisse tricentenaire, n’a jugé opportun d’aller voir sur place de quoi il s’agissait vraiment.
J’y suis allé, moi. Quand on m’annonce des frais de rénovation à hauteur de 700’000.- francs pour remplacer une toiture pourrie, je constate des pièces de charpente de chêne en parfait état de conservation.
Quand on me dit que cette maison n’a aucune valeur patrimoniale, je trouve dans le vestibule cette plaque de tuf :
« Ce mur, détruit par les inondations de la Sionne le 20 décembre 1740, a été réparé en 1741 par les soins de J[oseph]-B[arthélémy] de Kalbermatten, à cette époque grenatarius (j’hésite encore sur la traduction), jadis gouverneur de Saint-Maurice. »
A côté, une autre mention de restauration, en 1951 :
C’est rigolo, la devise de la famille Brunner, cette famille même qui va livrer sa propre maison aux démolisseurs :
Sustinebo !
« Je maintiendrai… »
Orgel
40e rugissants
mardi 17 avril 201240 ans, c’est pas vieux. C’est l’âge de la Fiat 127.
Becs
Pour 700 balles, t’as plus rien !
vendredi 9 mars 2012Lesobservateurs.ch se prévalant d’un «budget de 450 000 francs pour deux ans et demi», il est possible, en consultant des sommités du monde mathématique, de calculer le budget annuel dudit pure player. Avec le théorème dit « de la règle de trois » il n’est pas malhonnête intellectuellement d’affirmer que le budget annuel doit être d’environ 180’000 francs suisses.
Durant la semaine qui s’étend du vendredi 2 au vendredi 9 mars, il s’était écrit, sur ledit site internet, 5 articles (en comptant les articles des chroniqueurs invités). Comme il est plus ou moins admis qu’une année compte 52 semaines et que les journalistes pas-politiquement-corrects ne prennent pas un seul jour de vacances, on peut en déduire, qu’à ce rythme, pas moins de 260 articles seront publiés sur une période équivalente à une année. On peut, par là-même, en déduire , en proportion du budget annuel, que le coût net d’un seul article desobservateurs.ch se monte à 690 francs.
Nous ne pouvons que féliciter la direction desobservateurs.ch pour sa politique salariale et son altruisme envers les chroniqueurs et journalistes du groupe. Il est habituellement très rare dans les métiers de la branche (pensez aux pigistes et journalistes stagiaire) d’être aussi bien rémunérés. Nous espérons que les syndicats sauront faire un geste de remerciement à cette charmante entreprise qui fait tellement pour la cause syndicale. Félicitations à eux !