Reviens, Simone !
le 24 septembre 2009, par Fernand, dans le couteau entre les dents, NewsL’AFP nous expliquait, il y a de cela quelques jours, la tragédie épique des abeilles post-modernes : « des colonies entières d’abeilles s’évanouissent dans la nature et ne rentrent pas chez elles, laissant leur reine se débrouiller quasiment seule dans la ruche abandonnée. »
Personnellement je connais bien le problème. Pas que j’aie des abeilles mais, ça m’arrive aussi de me réveiller le dimanche matin dans le lit de coiffeuses blondes rencontrées lors de soirées eighties « fuck me party » et de leur faire croire que je vais chercher des croissants et que je serai là dans les 10 minutes. Les naïves ! D’ailleurs, message personnel, Sandy (prononcez-le à l’américaine), si tu nous lis, le 006 n’est pas l’indicatif téléphonique du Bas-Valais, je ne suis pas trader à la city de Londres, ni l’impresario de Georges Clooney . Nananère.
L’analogie est brillante (ho ho ho) mais ne s’arrête pas là. Parce que le véritable problème des abeilles, ce ne sont pas les pesticides comme voudraient le faire croire nos talibans de l’écologie, mais c’est bien le constructivisme et l’athéisme. Oui, le constructivisme et l’athéisme. Parfaitement. Pour les apidés et pour moi. Idéologies gauchisantes qui font perdre tous les repères sociétaux et moraux aux créatures de Dieu et les déboussolent au point de brouiller le sens des priorités de ces dernières. La pollution mentale induite par ce phénomène pousse les créatures terrestres à préférer la chaleur des îles au travail martial de la ruche et à la loi naturelle. La disparition de la crainte de l’enfer, d’Alastor et des ses compères à cornes a favorisé des paradigmes destructeurs. Mais écoutons plutôt l’avis d’un apiculteur qui tente de briser la spirale du défaitisme inoculée par les mondialistes dégénérés lucifériens (etc) et qui a un avis raisonnable là-dessus :
Fernand, érotico-sataniste qui s’est librement inspiré de confrères