I like!

le 27 mars 2013, par Alcazard, dans Non classé

C’est joli ce drapeau, c’est quoi?…

Alcazard, qui ne peut que remercier Tintin Fournier.

Putain! Faudrait voir à pas déconner!!!!!

le 28 février 2013, par Alcazard, dans Brèves et nerveuses

Il y a un truc qu’on peut reconnaître à Christian Varone, c’est qu’il a vraiment peur de rien. Et surtout pas du ridicule.

Moi je m’en fous, je vote Esther…

En tout les cas, pour sa brillante connaissance du terrain, il repassera.

Alcazard, qu’on ne voit pas sur la photo mais qui fait un doigt d’honneur dans son dos…

Citations…

le 30 novembre 2012, par Alcazard, dans Non classé

« Je lui (Jean-Michel Cina) ai répondu que Platon a dit que les affaires de l’État devraient être mises entre les mains des poètes et des philosophes. »

Oskar Freysinger, plus poète que philosophe (et futur chef de la culture)

« Si donc un homme en apparence capable, par son habileté, de prendre toutes les formes et de tout imiter, venait dans notre ville pour s’y produire, lui et ses poèmes, nous le saluerions bien bas comme un être sacré, étonnant, agréable ; mais nous lui dirions qu’il n’y a point d’homme comme lui dans notre cité et qu’il ne peut y en avoir ; puis nous l’enverrions dans une autre ville… »  La République, Livre II.

« Nous conjurerons Homère et les autres poètes de ne pas trouver mauvais que nous effacions de leurs écrits ces endroits et les autres de cette nature. Ce n’est pas qu’ils ne soient très poétiques, et qu’ils ne flattent agréablement l’oreille du peuple. Mais, plus ils sont beaux, plus il est dangereux qu’ils soient entendus, à quelque âge que ce soit, de ceux qui, destinés à vivre libres, doivent préférer la mort à la servitude. » La République, Livre III.

Platon (plus philosophe que poète)

Piqûre de rappel

le 2 septembre 2012, par Orgel, dans Brèves et nerveuses, Culture

 

L’argent détruit les racines partout où il pénètre, en remplaçant tous les mobiles par le désir de gagner. Il l’emporte sans peine sur les autres mobiles parce qu’il demande un effort d’attention tellement moins grand. Rien n’est si clair et si simple qu’un chiffre.

[…]

Il serait vain de se détourner du passé pour ne penser qu’à l’avenir. C’est une illusion dangereuse de croire qu’il y ait même là une possibilité. L’opposition entre l’avenir et le passé est absurde. L’avenir ne nous apporte rien, ne nous donne rien; c’est nous qui pour le construire devons tout lui donner, lui donner notre vie elle-même. Mais pour donner il faut posséder, et nous ne possédons d’autre vie, d’autre sève, que les trésors hérités du passé et digérés, assimilés, recréés par nous. De tous les besoins de l’âme humaine, il n’y en a pas de plus vital que le passé.

Extraits de L’enracinement de Simone Weil (1909-1943)

Gérard de Palézieux (1919-2012)

le 4 août 2012, par Orgel, dans Culture

Nature morte à l'entonnoir, eau-forte sur cuivre, 1964

 

 

L’amandier en hiver : qui dira si ce bois

sera bientôt vêtu de feux dans les ténèbres

ou de fruits dans le jour une nouvelle fois?

Ainsi l’homme nourri de la terre funèbre.

Philippe Jaccottet

Jean-Daniel Dubaï

le 1 juin 2012, par Orgel, dans Brèves et nerveuses, Culture

Jean-François d’Aquin (Grégory Logean à 17:35), priez pour nous !

De Lavallaz, l’architecte-promoteur-conseiller-bourgeoisial-en-charge-du-dicastère-de-la-gravière-et-de-la-centrale-à-béton et Jean-Daniel Decarte, le-marchand-de-meubles-promoteur-capable-d’amputer-son-propre-patronyme-pour-faire-des-économies-publicitaires, ont fait une belle opération au chemin des Collines, en détruisant le chalet de Riedmatten.

La preuve dans le journal aujourd’hui : l’appartement de 350m2 acheté à Dubaï il y a trois ans par l’ahuri de Saxon.

Il faut compter au minimum 2 millions de francs pour s’offrir un machin pareil dans ce pays du bon goût, de la mesure et de la conscience écologique.

Et certains naïfs croient encore que les profits obscènes générés par la promotion immobilière favorisent l’économie locale! Laissez-moi rire!

Détruire le patrimoine bâti, archéologique, paysager pour capitaliser à Dubaï : la grande classe.

Orgel

 

 

 

Oh les filles, oh les filles, moi elles me rendent marteau !

le 24 mai 2012, par Fernand, dans La poésie acratopège, Non classé

Paru dans le Nouvelliste. La fille est l’avenir du garçon comme disait Aragon.

 

 

Oh, mais les feignants!

le 23 mai 2012, par Alcazard, dans Brèves et nerveuses, Nos confrères

Ce n’est, semble-t-il, pas la monstre forme au Nouvelliste ces temps-ci.

C’est peut-être le fait d’avoir été racheté par une équipe de sales Frouzes ou peut-être le printemps et ses montées d’hormones épuisantes ou peut-être encore le contre-coup de l’inique Lex Weber: je ne sais pas.

Ce que je sais, par contre, c’est qu’ils ne se déplacent même plus de leurs bureaux pour aller chercher l’information sur le terrain et ça, ça me rend bien triste.

Je ne pensais pas qu’ils tomberaient un jour aussi bas….

Alcazard, grand brûlé au goron frais

 

NB: Toujours pas de suite en ce qui concerne la défense du patrimoine bâti sédunois. On ne voit sans doute pas bien le clos St-Georges depuis la rue de l’Industrie…

La France vue du Vieux Pays

le 9 mai 2012, par Alcazard, dans Divers et variés, Humour de gauche

Ma toute petite maman chérie,

Depuis ce lointain coin de pays où j’ai grandi, loin, bien loin de nos terres gasconnes où repose la longue lignée de nos glorieux ancêtres, je reçois en ce jour de bien belles nouvelles de notre mère patrie. Ainsi donc c’est avec joie et confiance que le peuple de France, notre peuple, petite maman, a accueilli la venue du changement en fêtant unanimement  la victoire à l’élection présidentielle d’un communiste trotskiste égorgeur d’enfants. Les choses vont enfin  radicalement changer en ce monde et je suis fier que ce grand mouvement d’humanité, de respect et de justice démarre en ce pays dont je suis issu mais où je n’ai jamais vécu.

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De la difficulté de l’art équestre en politique

le 8 mai 2012, par Alcazard, dans Humour de gauche, le couteau entre les dents

Les rares matins où les deux litres de johannis bus la veille m’ont un peu trop assommé, que la vieille chatte neurasthénique dont j’occupe la chambre n’arrive pas à me tirer de mon sommeil malgré ses longs miaulements pathétiques et ses jets de pisse sur le lit et qu’exceptionnellement quelque activité quelconque m’oblige à me lever avant les cinq heures du soir, il m’arrive (contre l’avis de mon médecin et les recommandations pleines de bon sens de mon noble ami Orgel) d’avoir recours, pour m’extirper de mes plumes, à mon archaïque radio-réveil inexplicablement branché sur la Première.

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