Des « poids lourds » pour repenser le Valais politique. C’est le Nouvelliste et les services de Maurice Tornay qui le disent. Poids lourds? On n’a même pas intégré au groupe de travail Christian Constantin, son homonyme Bernie, Pirmin Zurbriggen ou le supérieur de la FSSPX. Par contre, on a quand même convié dans cette commission extraparlementaire censée se pencher sur nos institutions le président et une membre de l’Association des préfets et sous-préfets du Valais qui seront chargés, notamment,  de  répondre à cette terrible question lancée par Maurice Tornay: « Ne devrait-on pas faire élire les préfets par le peuple? »  Mauvaise formulation. Il voulait  dire « Le peuple devrait-il élire des gens qui ne servent à rien, sinon à « faire décor » dans des apéros de fond de vallée ? » Lire le reste de cet article »

Spéciale année électorale. Le Matin du jour a raison,  Marylène Volpi est vraiment « une empêcheuse de tourner en rond des huiles politiques valaisannes. » (sic-mdr-lol) Par contre, ça ne va pas l’aider à être élue. Pour être élu en Valais, il faut… sponsoriser Quesada, la comédie musicale hippie des Freysinger. Et après, il y en a encore pour être optimiste dans l’avenir du genre humain.

Fernand, quesadiste pur sucre

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Les mauvaises langues affirment, avec Desproges, que  le QI des supporters de foot ne dépasse que très rarement le chiffre de la température anale.
Il faut relativiser ces affirmations. Certains ont une culture générale évoluée. Preuve en est du remake, particulièrement bien adapté et remis au goût du jour par les supporters valaisans, de « L’arrivée d’un train en gare de La Ciotat » des frères Lumière. En exclusivité, le trailer :

Avec un peu de chance, parmi eux, il y  a aussi des fans de Yukio Mishima…

Fernand, arbitre enculé !

« Notre système démocratique est ainsi de plus en plus menacé, d’un côté par des fous de Dieu que personne n’ose arrêter et de l’autre par des autorités qui n’osent plus garantir les fondements constitutionnels et légaux de l’Etat de droit.« 

On ne peut qu’être d’accord avec cette citation d’Oskar Freysinger. Après la condamnation de Dominique Giroud en 2002 dans l’affaire des affiches diffamantes envers des politiciennes pro-avortement, le fondamentaliste chrétien valaisan remet une couche en accueillant dans sa cave Geert Wilders pour une conférence contre  « l’islamisation rampante » (sic) de notre pays. Geert Wilders est déjà interdit d’entrée en Grande-Bretagne et est sur le coup de procédures dans son pays conséquemment à ses propos haineux. Rappelons qu’il prône par exemple l’interdiction du Coran en totale opposition avec l’article fondamental de notre constitution sur la la liberté de croyance et de conscience. Lire le reste de cet article »

Que viens foutre Uli Windisch à la une du Charlie Hebdo de cette semaine?

Alcazard, fortement aidé par Jean-John Roduit

Bernard Stalder, qui a claqué la porte de la présidence de la BCVs, explique aujourd’hui aux heureux lecteurs de « La Banque suisse » les raisons de son choix. Ce n’est pas pour raison de santé, non. Il va bien, merci. Non, c’est juste qu’il se faisait un peu chier dans ce boulot pourri: pas de vrais challenges, pas de risques. Une paie de ministre à rien foutre ou presque. Parce qu’il y a aussi les responsabilités « politiques » qui incombent à sa charge: obligé de participer à plein de réunions pseudo-culturelles d’arrière-pays, de se taper les vernissages avec une intelligentsia  de bouseux prétentieux, obligé de boire du vin Giroud un jour sur deux, de se farcir les combats de reines et les fines analyses stylistiques d’amateurs éclairés… La liste n’est pas exhaustive, loin s’en faut. Et ça, oui, ça aurait pu justifier peut-être son salaire. Mais en tout les cas pas le boulot d’employé de commerce dont relève le poste.

En première page du Nouvelliste, Jean-François Fournier qui lui fréquente assidûment les apéros dînatoires et les coteries cul-culturelles de l’extrême droite valaisanne, nous rappelle que l’homme fut mis en place par Monsieur Cina pour contrer Jean-René Fournier et que ce dernier aurait certainement été beaucoup plus compétant.

Aux vues de la description de la fonction que nous fait aujourd’hui Monsieur Stalder, et du bilan de Monsieur Fournier en tant que conseiller d’État, on ne peut, hélas, que donner raison au rédacteur en chef du Nouvelliste.

Alcazard, surpris

Après l’application I-Phone de Philippe Nantermod, le Poken du PDCvr, nous avons l’immense honneur de vous présenter, en avant-première, le grille-pain USB du Parti socialiste (compatible Mac) ainsi que la clé USB agrarienne anti-moustiques.

Vu dans le Nouvelliste,  sur internet, à la TV.

Attention ! A acheter avant le 24 octobre 2011. Passé ce délai : fin de la vente et de la promo !

Fernand, sur Amiga 500

On en sait un peu plus sur la fameuse soirée du 11 juin à la Halle des fêtes de Savièse. Il suffisait d’écouter attentivement le discours d’Oskar au congrès de l’UDCvr pour y découvrir quelques pistes.  La surprise n’en est donc plus une : un Karaoké géant y sera organisé. Mat(t)hias Reynard  y est le bienvenu !

Nouvelle révélation sur l’UDCvr qui ne sera pas pour plaire aux membres du Mouvement chrétien conservateur valaisan : les francs-maçons et les illuminatis ont sournoisement noyauté les plus hautes sphères du parti agrarien. Alain Soral avait raison : Freysinger est un sioniste franc-maçon du 32ème degré !
Fernand, GLNS

S’il y a une chose dont on peut bien être certain aujourd’hui, c’est que les frères Putallaz ne carburent définitivement pas à la même dope. F.-X.,  la semaine dernière, nous avait régalé de considérations oiseuses sur les courbes fines et gracieuses de Kate Middleton, allant jusqu’à trouver dans le galbe de son cul (pardon, de son épaule) la preuve irréfutable de Dieu. Les esprits avertis et les gens de goût avaient alors tous bien reconnu les effets conjugués de l’alcool et de la marijuana dans ce scribouillage abscons et désordonné. Le professeur s’était sans doute ouvert une bonne bouteille de rouge pour regarder le mariage princier et, les deux étant finis, il s’était probablement attablé à son bureau, ému et frétillant, pour y écrire ce qui restera comme son meilleur billet d’invité (en tout cas le plus drôle), un énorme tarpé allumé glissé au coin des lèvres. Las, aujourd’hui, son frère rectifie le tir avec un article qui sent plus l’eau minérale sans gaz et la schlague que le patchouli et la bière tiède. Il y fustige une fois encore la décrépitude morale de l’enseignement moderne que de crypto-post-soixante-huitards infligent à nos chères têtes blondes en faisant passer des réformes respecticides depuis un bunker secret. Et dire qu’on ose venir me dire que je me répète…

Mais que Jean-Romain Putallaz se rassure, la contre-réforme est en marche. Elle va bientôt déferler sur le monde et elle a un guide : Jean-Pierre Meyer.

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