Pierre*
dimanche 21 décembre 2008
Alors, une fois n’est pas coutume, il va falloir dire du mal d’un homme qui dit du bien d’un socialiste. Il faut dire que Vincent Pellegrini se remettant doucement de son souper d’entreprise (souper par ailleurs boycotté par la plupart des rédacteurs du NF), il n’y avait pas grand-chose à se mettre sous la dent cette semaine. Pire, je n’ai trouvé que Pierre Keller, c’est vous dire.