Mais qui est donc le mystérieux poète, qui signe de superbes quatrains du monogramme A.R.? Adhémar Remondeulaz? Anselme Rembarre? Anicet Ratapoil?
Je vous livre ci-dessous la production du jour (à déclamer avec un soupçon de vibrato, je vous prie) :

Confiante la rose offre à tout un chacun

la beauté de sa fleur et son parfum

puis au soir de sa vie s’incline doucement

pour semer ses pétales à tous vents.

Et le soir de Noël devant la cheminée

au pied du sapin nous irons déposer,

pour toi Maman chérie, un message d’amour

écrit en lettres d’or : on t’aime pour toujours.

Quelle puissance. Plusieurs questions : qui est cet auteur délicieux? Combien doit-on payer pour s’offrir ses services? Trouve-t’on ses œuvres complètes à la Pléiade?

Merci de bien vouloir éclairer ma lanterne.
J’espère qu’une taupe du Nouvelliste voudra bien me faire ce petit cadeau pour Noël, moi qui ai si peur de mourir sans avoir vu Carcassonne, ce qui n’a rien à voir, je vous le concède.

Sortez de ma bière.

Orgel, critique littéraire

Cet article a été publié le jeudi 18 décembre 2008 à 16 h 41 min et est classé dans Nos confrères. Vous pouvez en suivre les commentaires par le biais du flux RSS 2.0. Les commentaires et pings sont fermés.