Le mot du jour
vendredi 17 juillet 2009
Le mot du jour est « Flagornerie« .
Nom commun dont la définition pourrait être celle d’ une flatterie servile ou grossière ou une louange faite de façon intéressée. Les djeunes racailles de banlieue qui aiment pas la France parleraient plutôt de « léchage de culs ».
Terme fort usité pour parler des courtisans des cours royales du XVIIème siècle. Le roy de France et de Navarre a perdu sa couronne, mais, au XXIème siècle, certains en abusent encore pour qualifier les militants royalistes et maurrassiens de fond de vallée alpine.
Est-ce là les prémisses estivales d’un retour en grâce du saint homme et de ses articles éclairés par le Très Haut et la Tradition au sein du journal cantonal bien-aimé ?
« Si j’estois grand enlumineur de mes actions, à l’adventure rembarrerois je bien ces reproches« (Montesquieu)
Fernand, ami des Lumières
Monsieur Doublezérosix se voyant refuser l’entrée de certains bistros de la Place Centrale de Martigny a eu le bon goût de venir se réfugier dans le café le plus sympa de la capitale pour demander asile. On le voit ici, vêtu des quelques loques qu’il a pu emporter dans sa fuite, en compagnie d’un autre repris de justice. Ce dernier lui transmet le code pénal suisse que lui avait offert Fernand, autre délinquant du Web, qui avait eu le bon goût de le lire avant d’écrire lui.
Un grand bravo à Jean-Yves Gabbud qui dès hier au soir annonçait fièrement sur son profil FaceBook qu’il avait enfin découvert la vraie identité de Doublezérosix et le nom de son détracteur, croyant ainsi s’attribuer les lauriers d’un scoop éventé depuis longtemps.





