Et dire que les sociaux-traitres du PS (et alliés) voulaient interdire le port d’armes à feu et par là même la lutte armée contre l’Etat capitaliste qui nous aliène. Tssssss.

Passer son temps à l’étranger pour vanter le « miracle suisse » et, en même temps,  dénoncer le multiculturalisme qui fait la richesse de ce même pays, seule une personne était capable de ce grand écart.  Oskar Freysinger, donc, c’est écrit dans le titre. Le barde saviésan se commet encore dans la Tribune de Genève avec un article ubuesque frugalement intitulé « Le multiculturalisme détruit la diversité« . Article dans lequel il nous parle de sioux à cheval, d’aliénation de soi et de  bircher muesli. Et entre tout ce ramdam littéraire, une considération philosophique de haut vol sur le concept de culture  à la sauce freysingérienne, s’il vous plait. Je résume donc , mais pas tant que cela, le fond de la pensée : « le mélange des identités et des cultures, c’est de la merde. « La diversité ne peut être sauvée que si chacun reste lui-même, » comme le dit le beau Oskar. C’est joli et on ne peut qu’acquiescer. On va même lui donner un conseil pour qu’il reste au plus près de son abstraction conceptuelle : « Oskar, jette ta guitare, c’est un affreux instrument étranger qui trouve ses origines en Perse ! »

La nouvelle série illustrée de l’été. En exclusivité sur ce blog.

Tout notre soutien à cette dame, Prisca Birrer-Heimo, conseillère nationale socialiste, qui a quand même le sacré « privilège » d’être l’unique parlementaire fédérale moins bien classée que Paul-André Roux dans le ranking des parlementaires de la dernière législature fédérale.  Courage Madame, vous n’étiez probablement pas faite pour la politique ! Ça arrive !

Ranking sur l’influence des parlementaires fédéraux. 193 classés.  Source

Un homme, un vrai, un viril, pas une tapette ou ce genre de chose (comme on en trouve heureusement pas en Valais !), a le devoir d’obliger sa compagne à l’accompagner aux matchs de foot et  aussi de « former très tôt les jeunes filles à une discipline intellectuelle objective » qui fait, par nature, défaut aux gonzesses.  Il peut heureusement compter sur la  « rigueur logique » qui n’est pas innée à l’autre sexe.

Le parti suisse des hommes, farouchement antiféministe et opposé aux théories du genre, généralement colportées par des gonzesses, l’a compris : le maniement des nouvelles technologies est ainsi  plutôt une affaire d’hommes comme semble l’indiquer l’architecture particulièrement réussie du site internet du parti.

Fernand, qui a perdu toute son énergie en faisant cuire des spaghettis

Les candidats aux élections ne sont pas tous des rigolos comme Oskar. Il y en a même qui ont des idées (si, si!), et qui nous les présentent sur leur blog. Plus particulièrement Nantermod que l’on ne peut que féliciter pour cette brillante initiative (z’avez vu ça, je viens de le complimenter!). Lire le reste de cet article »

Parmi nos députés aux chambres fédérales, il en est qui savent défendre le Valais du tourisme. Oskar en est !   En fan de Jo Nesbø, il est même prêt à  embellir la petite histoire  avec quelques crimes affreux dont il aurait été le témoin.

– Promesse tenue. La candidate inconnue du PDCvr est réellement une inconnue. Et après, il y en a encore qui traitent Darbellay de girouette.

–  Langage politique ou novlangue ? On ne dit pas « Le PDC sort de son chapeau deux candidats n’ayant pas la moindre expérience politique« , on dit : « Délétroz et Moulin après Buttet : les perspectives du PDC à l’avenir sont vraiment intéressantes. »

–  Journalisme d’investigation. Contrairement à ce qui a été notifié, le 25 juin, sur une page entière du Nouvelliste  par Gilles Berreau, Christophe Darbellay ne serait, de loin pas,  « le  premier candidat valaisan au Conseil national à soutenir la charte de la Fédération romande des consommateurs. » Par manque de chance, le téléphone et les ordinateurs de la  FRC étaient en panne lors de l’enquête journalistique et le siège de la FRC à Sion, inaccessible à cause d’une coulée de lave du Vésuve. On compatit avec ce difficile métier qu’est celui de journaliste. Lire le reste de cet article »

On a la ploutocratie aristophanienne que l’on mérite. La notre, la valaisanne, accompagnée de ses laquais, tout en subtilité, se réunissait hier dans les alpages de Combyre. Sous une invitation, toute giroudienne, elle aussi,  stipulant bien, que l’on vient accompagné de son épouse et non pas d’un être humain du même sexe, d’une concubine non mariée devant curé ou tout autre animal social proscrit par la loi naturelle. La classe ! On y retrouvait entre autres gais lurons (avec un « i » s’il vous plait !), comme nous l’apprend le Matin du jour, Grégory Logean qui ne sait, parait-il, pas racler son talon de fromage. On a renvoyé des requérants d’asile dans leurs pays en guerre pour moins que cela. Les valeurs suisses sont bafouées. Il n’y a plus qu’à espérer que la très spartiate et militarisée hiérarchie de l’UDC Valais impose des cours pratiques de raclage à ses membres pour combler l’inexcusable lacune dont a fait preuve  le conseiller communal national-populiste. Lire le reste de cet article »