René « Rembarre » Berthod est scandalisé par le dernier combat de Jean Zermatten, qui veut bannir des moyens éducatifs, les mauvais traitements : « Et comme la fessée parentale paraît être le plus mesuré, le plus modéré et le mieux localisé des châtiments corporels, disons que ce haut fonctionnaire aimerait interdire aux parents l’usage de ceux-ci », dit il sur son blog. Salaud de fonctionnaire !

Pourtant il a raison René. Tous ces parents, ces professeurs, ces éducateurs qui ont perdu le goût de la verge, de l’art du spanking, c’est le début de la fin de la civilisation. Preuves historiques à l’appui. Tu prends l’exemple des grecs. D’un côté, t’as des chiffes molles athéniennes comme Platon, qui dans La République, écrit : « Formez vos enfants dans leurs études non par la contrainte, mais par des jeux, et vous pourrez mieux observer leurs résultats naturels ». En face t’as les spartiates. Plutarque, dans sa Vie de Lycurgue, écrit que les enfants  spartiates, surpris à voler, sont  « fouettés sans pitié »  et témoigne avoir vu lui-même des jeunes gens fouettés à mort au pied de l’autel de Diane.  Et ben j’ai vu un film historique intitulé 300, super-réaliste, où 300 spartiates tout musclés et éduqués à la férule, foutent une branlée à des dizaines de milliers de vilains perses imbibés de Valium et de barbituriques. Pendant ce temps-là, les athéniens peu habitués aux joies de la fessée copulent allègrement  entre genres semblables au mépris du danger perse.

D’ailleurs une remarquable étude de la primatologue et anthropologue Sarah Blaffer Hrdy arrive à la conclusion que les bonobos, ces singes homosexuels (beurk), considérés comme les plus proches de l’homme, ne punissent jamais leurs rejetons physiquement. D’où leur immoralité.  Bon cette conne de Hrdy arrive à la conclusion que frapper les enfants n’a donc probablement rien d’instinctif, que c’est un comportement humain, culturel, acquis par imitation. Encore une talibane du politiquement correct, qui par manque de bon sens, n’a pas compris que la taloche dans la gueule c’est la loi naturelle et divine. D’ailleurs c’est  Moïse qui l’écrit dans le Deutéronome (21, 18-21) . Il s’était déjà pas tant  gêné à faire crever les nouveaux-nés égyptiens lors de ses vacances dans le pays des bas-reliefs sans perspective , alors  pensez bien qu’il était pas tendre avec ses gosses : faire lapider  un fils indocile, débauché et buveur, c’était pas spécialement une mauvaise chose.  C’est un buisson ardent qui le lui a dit !

Bon par la suite, il y  a eu cette histoire de parabole du fils prodigue qui s’est cassé avec la caisse, est revenu avec le foie abimé et sans le sou et a été accueilli par son papa avec moult banquets et ripailles. Surement un père élevé comme un enfant-roi et homosexuel qui plus est… L’été 68. Les barricades à Jérusalem.  Les diatribes enflammées d’Âbel-Ziad Sartre sur son tonneau face aux ouvriers  des conserveries de dattes du Mont des Oliviers.  La lutte contre les romains, qui eux aussi étaient pas des tapettes grâce à des virgas épineuses  sur l’arrière train lors de leur enfance. Il est interdit d’interdire le keffieh…  Alors que… Un bon coup de  flagellum dans la gueule et le type, il recommence pas, alors que là, le jeune, a probablement fini sa vie par détrousser des pharisiens et écouter de la musique dégénérée en fumant des joints derrière le temple de Salomon. Parce qu’il a pas reçu ses claques.  Alors que dans la Vallée d’Entremont, Rembarre, il en donnait des claques.  Et ça a  pas empêché Maurice Tornay et  Willy Besse d’arriver au sommer de leurs arts…

Fernand, des claques qui se perdent

Cet article a été publié le lundi 15 mars 2010 à 15 h 27 min et est classé dans Non classé, Nos confrères, Pornographie enfantine. Vous pouvez en suivre les commentaires par le biais du flux RSS 2.0. Les commentaires et pings sont fermés.