La concordance des dates
jeudi 12 février 2009
Tiens, Claude Roch est né le même jour que le bombardement atomique sur Nagasaki.
Bah, après tout, on s’en fout.
Orgel, astrologue du Conseil d’Etat
Tiens, Claude Roch est né le même jour que le bombardement atomique sur Nagasaki.
Bah, après tout, on s’en fout.
Orgel, astrologue du Conseil d’Etat
En exclusivité, l’image de Maurice Tornay au moment même où il apprenait de la bouche de Jean-François Fournier sur la TSR qu’il pourrait se retrouver sur le banc de touche lors du deuxième tour. Tel le traitre Iago dans Othello, JFF offre à l’entremontant un grand moment de solitude.
Fernand, aussi enthousiaste que Claude R., maniant le français comme Esther W. mais moins bon vendeur d’aspirateurs que Jacques M.
Le dimanche est un jour difficile. D’abord il faut se lever et suivant notre occupation de la veille ce n’est pas forcément une action d’une exemplaire facilité. Ensuite, pour peu qu’on ait eu la mauvaise idée de se munir d’une famille toutes options, il vous faut vous vêtir et, avant même l’absorption salvatrice d’une bonne demi-douzaine d’expressos bien tassés, sortir dans le froid pour aller chercher la tresse encore tiède, les croissants croustillants et le journal. Car le dimanche, et c’est sans doute le pire, on n’a pas tant le choix pour la presse, on n’a droit qu’à un seul canard. Enfin bon, quand on arrive à se concentrer deux secondes sur quelque chose, on essaye de le lire quand même, tant bien que mal. On se trouve des excuses (ce n’est pas la même rédaction que la semaine) et on se promet d’aller tout de même se laver les mains quand on aura fini, pour des raisons d’hygiène évidentes.
Mon commentaire sur le blog « Religion » du Nouvelliste, destiné à répondre à l’Abbé Claude Pellouchoud d’Êcone ayant été supprimé, je me permets de le republier intégralement ici :
Jusqu’à présent, M. Claude Pellouchoud, vous m’aviez fait beaucoup rire, comme en novembre 2007 où dans un éditorial du magazine intégriste “Le rocher” dont vous êtes rédacteur en chef, vous aviez publié un édito surréaliste sur la Bande Dessinée où vous lanciez une “fatwa” permettant à vos lecteurs de lire “Pif Gadget”.
Mais avec votre intervention ci-dessus, vous ne faites plus rire personne. (suite…)
Encore un vibrant hommage du triton de Genève, dans son blog :
« Je partirai donc pour Veyras. Je choisirai mon jour pour me rendre jusqu’au petit cimetière. Dès l’aube, je me mettrai en route. Le ciel sera bleu, bien sûr;une brise printanière agitera le sommet des arbres, bien sûr. Là, pas de houx vert ni de bruyère en fleur, mais je lirai à voix haute une page du « Testament du Rhône » et, un peu plus tard, une autre du « Pays secret ».
C’était en 1976, quand Maurice Chappaz se faisait écharper par le Nouvelliste dans des termes d’une violence inouïe (voir l’article de Fernand), qu’il fallait parler de Chappaz. Maintenant, de là où il est, il se contrefiche d’entendre sa prose éructée en plein vent, même par un fitlozof. Franchement. Surtout du sous-Victor Hugo.
Sortez de mes contemplations.
Orgel, Hugophile
Une indicatrice, particulièrement versée dans le décryptage des slogans politiques, nous fait part de son étonnement :
« En français causé correc’, le slogan se lit : ni une ni deux mais trois! Alors qui est le transsexuel? »
Les paris sont ouverts, mais moi j’ai déjà un doute.
Orgel, brésilienne
On se demande bien ce qui peut tenir la tête de Madame Volpi quand elle n’a pas le coude sur la table… Le fil du marionnettiste, peut-être?
La rédaction
La vidéo de campagne de Jacques Melly est merveilleuse. On y surprend le candidat sierrois, aidé par quelques complices, tentant de faire dériver la colline de Valère vers celle de Tourbillon. Est-ce un génial clin d’oeil au mythe de Sisyphe ? Ce héros grec, puni pour avoir défié les Dieux, fut condamné à rouler éternellement un rocher au sommet d’une colline. Albert Camus écrivit d’ailleurs un livre éponyme où il fit de Sisyphe le héros absurde par excellence. L’auteur tentait ainsi de montrer l’absurdité du destin de l’Homme.
Ce vendredi, Marylène Volpi Fournier, candidate à l’élection au Conseil d’État, a répondu en direct aux internautes du Nouvelliste. Notre ami Fernand en a profité pour lui poser une question sur la décroissance; un sujet que nous avions abordé, Marylène et moi, dans un précédent article. Sa réponse sur la vidéo a donné à peu près ceci:
«Alors la décroissance, c’est une thématique qui est chère aux Verts, mais c’est pour moi plus proche de la croissance zéro, et de la décroissance en terme quantitatif oui, mais par contre une augmentation alors nette en terme qualitatif hein de la vie de chacun.»
(suite…)
Dans un précédent article, Alcazard, notre estimé confrère, regrettait amèrement, et on le comprend bien, l’erreur tactique monumentale du candidat au conseil d’État, Monsieur Éric Felley. Il avait préféré lancer sa campagne dans un sordide restaurant de Sion plutôt que dans un aimable estaminet sis un rien plus haut. Erreur réparée en ce jour et nous nous en félicitons.
Quel talent!
Boris Michel, tenancier de tripot clandestin.