Une fois n’est pas coutume

A lire l’excellent billet de l’invité du jour du Nouvelliste

6 commentaires pour “Une fois n’est pas coutume”

  1. KsandRNo Gravatar dit :

    Un peu réducteur, ça laisse entendre que les seules personnes qui puissent voter non sont des fachos xénophobes membres de l’udécé.

  2. OrgelNo Gravatar dit :

    Ce n’est pas le cas ?

  3. KsandRNo Gravatar dit :

    Ben non, il y a par exemple un groupe de gens de gauche qui sont contre parce qu’ils n’acceptent pas le principe de la « libre exploitation des travailleurs » ou « circulation forcée des travailleurs ».

    Il y a clairement une campagne de diabolisation des « neinsagers » sur ce coup et je suis étonné que ce blog dont j’apprécie l’esprit critique et incisif se fasse avoir.

  4. AlcazardNo Gravatar dit :

    Cher KsandR,
    Il est vrai que le débat est un peu annexé par les affiches nauséabondes de l’UDC et leur rhétorique xénophobe. Dans ce contexte, en effet, les arguments de l’extrême gauche peinent à se faire entendre.
    Ainsi, si vous voulez nous faire parvenir un article les développant, c’est avec joie que nous le publierons. Vous trouverez notre adresse mail dans la rubrique « contact ».
    Bien à vous.

  5. KsandRNo Gravatar dit :

    Merci,

    A noter le billet de l’invité du jour d’aujourd’hui (Philippe Barraud, même lien que ci-dessus) est nettement plus critique.

    Voici par exemple le communiqué de presse de la Gauche Valaisanne Alternative du 9 janvier:

    « Elle a aussi décidé à l’unanimité de recommander un non de gauche pour la votation du 8 février sur la libre circulation des personnes, à l’opposé de toute xénophobie et de tout nationalisme. En effet il faut constater que l’Union Européenne se bâtit sur une politique ultra-libérale de démantèlement des acquis sociaux et syndicaux, nuisant aux travailleurs de tous les pays: alors que les travailleurs des pays plus riches subissent une concurrence mal contrôlée des travailleurs des pays moins développés, ces derniers sont incités à émigrer pour être exploités comme une main-d’oeuvre bon marché. Ainsi la libre circulation des personnes amène en fait la libre exploitation des travailleurs, raison pour laquelle elle reçoit l’appui des milieux économiques. La GVA ne tombe pas dans le piège de la croissance et de l’économie qui devraient justifier n’importe quelle détérioration des conditions de travail. La GVA enfin n’oppose pas les travailleurs en distinguant ceux qui viennent des « bons pays » membres de l’UE et les autres. »

    Je vais demander à quelqu’un de transmettre un argumentaire plus détaillé.

    Bonne journée

  6. KsandRNo Gravatar dit :

    oups…lien sur la source précédente:
    http://gauche-valaisanne-alternative.over-blog.com/article-26662472.html