Cela fait un moment que Putallaz rabache les deux mêmes sujets dans Le Nouvelliste: à savoir Mai 68 et le suicide assisté. Pour résumer:
1. Mai 68: les pensées multiples et hétérogènes de l’époque (marxisme, anarchisme, structuralisme, la mouvance situationniste,…) se résument à un slogan: «Jouissez sans entrave»; et sont la cause du consumérisme actuel.
2. Le suicide assisté: c’est un «meurtre».

Et là, à force, ça devait arriver: horreur! Un lecteur ose le contredire.

Il lui fait remarquer que de dire que l’aide au suicide «érode le principe humaniste de notre civilisation» équivaut à la qualifier d’acte barbare. Que pour lui, ce terme est plus propre à désigner «la famine, la misère et la guerre» dues à la «cupidité des nantis». Et qu’il aimerait bien que Oui-Oui à la vie, plutôt que de toujours se focaliser sur la «phase utérine et la porte de la mort» de l’existence, prenne le temps d’écrire une fois ou l’autre sur la vraie barbarie.

Oui-Oui à la vie n’est pas content. Ni une, ni deux, il fait paraître dans le courrier des lecteurs du Nouvelliste un texte qui dit en substance: ce qu’a écrit le Monsieur est nul, pas argumenté et c’est même pas du débat. Quelques jours après, son copain Salamolard fait pareil. En gros, il dit que: ce qu’a écrit le Monsieur est nul, pas argumenté et c’est même pas du débat. On pourrait presque croire que Putallaz lui a fait la dictée. En tout cas, comme le dit Salamolard: «quand on manque d’idées, on s’efforce de salir les personnes».

Croquignol, neinneinsager

Cet article a été publié le jeudi 23 décembre 2010 à 14 h 36 min et est classé dans Non classé. Vous pouvez en suivre les commentaires par le biais du flux RSS 2.0. Les commentaires et pings sont fermés.